La dernière ligne droite entamée se profile devant moi ...
Et la semaine continue sur les préparations du DELE. Mon niveau est plutôt satisfaisant à mon avis mais je commence à en avoir ma dose à la longue ... Non, parce que bon, je ne le passe pas, moi, ce DELE !
Hier, j'ai oublié de vous dire, le directeur académique m'a informé que, bien que je devrais faire l'examen de sortie jeudi, ma place en B2 était déjà réservée au Costa-Rica. Si tout se passe bien, je vais pouvoir passer un nouveau niveau. Suis content car ça veut vraiment dire que je progresse. Par contre, il me manque toujours des leçons au début du niveau que je n’ai pas faites et ça « m’inquiète » un peu.
Et la semaine continue sur les préparations du DELE. Mon niveau est plutôt satisfaisant à mon avis mais je commence à en avoir ma dose à la longue ... Non, parce que bon, je ne le passe pas, moi, ce DELE !
Hier, j'ai oublié de vous dire, le directeur académique m'a informé que, bien que je devrais faire l'examen de sortie jeudi, ma place en B2 était déjà réservée au Costa-Rica. Si tout se passe bien, je vais pouvoir passer un nouveau niveau. Suis content car ça veut vraiment dire que je progresse. Par contre, il me manque toujours des leçons au début du niveau que je n’ai pas faites et ça « m’inquiète » un peu.
Peu avant de quitter l’école, je vérifie machinalement mes
mails et en reçoit un nouveau que j’aime beaucoup. Il semblerait que, grâce à
ses cinquante-trois relances, EF vient de réaliser un problème de date. Oui,
comme expliqué avant même que je vienne à Madrid, j’enchaîne les deux voyages.
Du coup, il y a un problème pour la nuit de samedi soir. Bêtement, je pensais
que, sachant quand j’arrivais, ils auraient prévu le coup. Mais non, ils me
demandent si je veux payer la nuit supplémentaire ! Là, je tique un peu
(beaucoup en fait) et fait les comptes. Cent-cinquante euros de transfert EFien
plus trente-cinq de nuit supplémentaires plus le pincement au cœur de passer par
San José sans rien voir de la ville (oui, je sais bien que j’aurai le temps plus
tard mais même !) nous donne qu’après un gros coup de gueule, je décide de
dormir à San José. J’annule le transfert, réserve l’hôtel et un bus privé local
et m’en sort pour la moitié du prix avec le plaisir de le faire en mode
« aventurier ». Par la même occasion, j’en profite pour relancer une
toute nouvelle connaissance qui a une amie là-bas et pourra peut-être me servir
de guide.
Sur tous ces tourments, j’essaye de dormir un peu et là,
oui, le stress est arrivé ! J’en profite quand même pour saluer au
passage le dévouement (et non la dévotion comme mes doigts veulent l’écrire) de
la secrétaire de l’école ici qui m’a accordé beaucoup de temps pour répondre
aux nombreux messages de mon bureau de vente français.
@ demain !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire