samedi 15 mars 2014

Avis de recherche / Aviso de busqueda / Wanted notice

Bonjour à tous,

En vue d'un projet personnel, je suis à la recherche de tous types de contacts au Canada. Je vise des personnes anglophones ou qui pourraient m'introduire auprès d'anglophones.

Pour vous donner quelques détails, voici mon projet idéal : travailler quelques mois (fractionnables) dans une structure d'hébergement (hôtel, gîte, camping, ...) en milieu majoritairement anglophone. Mon objectif est de rencontrer des personnes avec qui je pourrai partager des expériences professionnelles et personnelles en renforçant mon niveau d'anglais. Être hébergé par une famille contre services me semble le plus agréable et efficace. Si le statut d'actif (travailleur) est un frein, le bénévolat (contre logement et nourriture) me convient également.

Vos contacts peuvent me joindre comme suit :
- Par téléphone : +33.six.83.68.29.soixante-quatre
- Par courriel : le_neptunien chez hotmail point com
- Par Facebook : via les coordonnées ci-dessus
- Par ... vous :)

Un grand merci à tous pour votre aide !

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Buenas días a todos,

Planeando un proyecto perosnal, estoy buscando a todo tipo de contacto en Canadá. Busco a  personas anglófono o que podrían ponerme en contacto con anglófonos.

Para daros más información, aquí esta mi proyecto perfecto : trabajar algunos meses (fractionnable) en una empresa de alojamiento (hotel, albergue, cámping, ...) dentro de un cuadro hablando inglés. Mi objetivo es encontrar personas con quien podría compartir experiencias profesionales y personales mejorando mi nivel de inglés. Estar alojado en familia contra servicios me parece más agradable y eficaz. Si el estado de trabajador es un problema, el voluntario (contra alojamiento y comida) conviene también.


Sus contactos pueden contactarme como abajo:
- Por teléfono : +33.seis.83.68.29.sesenta-y-cuatro
- Por correo electrónico : le_neptunien at hotmail punto com
- Por Facebook : via los datos arriba
- Por ... vosotros :)

¡Un gran gracias a todos por su ayuda!


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Hello everybody,

Planning for a personal project, I'm looking for any kind of contact in Canada. I 'm looking especially for English-speakers or people who could introduce me to English-speakers.

To give you more details, here is my perfect project : work a few months (could be added) in a hospitality structures (hotel, cottage, camping, ...) where English is mostly spoken. My objective is to meet people with who I can share professional and personal experiences improving my English. To be accommodated in a family seems to be nicer and more effective. If the worker state is a problem, I could be volunteering (for accommodation and food).

Your contacts can reach me with:
- By phone : +33.six.83.68.29.sixty-four
- By e-mail : le_neptunien at hotmail dote com
- By Facebook : with information above
- By ... you :)

A great thank you for your help !

vendredi 28 février 2014

Heure du bilan / Hora del balance

Español abajo

Depuis septembre, je voyage. Besoin d'une coupure, besoin d'une pause. Six mois de break.

Au cours de mes voyages, j'ai découvert une petite partie du monde. J'ai découvert des lieux, j'ai découvert de cultures, j'ai découvert des arts mais j'ai surtout découvert des personnes.

Certaines de ces personnes que j'ai rencontrées étaient aimables, d'autres désagréables. Certaines étaient ouvertes d’esprit, d'autres repliées sur elles-mêmes. Certaines me rendaient heureux, d'autres me cassaient. Certaines me permettaient de m'ouvrir, d'autres m'obligeaient à me réserver. Certaines avaient la joie de vivre, d'autres avaient un poids sur les épaules. Certaines étaient riches, voire même très riches, d'autres pauvres, voire très pauvres. Certaines se montraient fortes, d'autres fuyaient les obstacles. Toutes m'ont appris quelque chose.

De toutes ces personnes, ces connaissances, ces amis plus ou moins temporaires, je garde des souvenirs. Dans ma nostalgie habituelle, j'espère ou rêve de les revoir ou au moins de garder le contact. Un espoir illusoire, je le sais bien mais que je n'arrive pas à me sortir de la tête. La vie suit son court et chacun son chemin. Peut-être les nôtres se recroiseront un jour, peut-être pas.

Ce que je veux garder de ces voyages, ce que je veux ne jamais oublier, ce que je veux graver à vie dans ma mémoire, ce sont bien elles. Toutes ces personnes. Toutes ces personnes qui m'ont appris quelque chose. Elles m'ont appris à être, à vivre, à agir mais aussi, elle m'ont appris qui je suis.

Plus jeune, je pensais que l'école était la formation de la vie. En travaillant, je me suis rendu compte que le monde professionnel était bien plus instructif que toutes ces heures sur une chaise en classe. Désormais, je comprends tout le sens du proverbe qui dit "Les voyages forment la jeunesse." Le mélange des cultures, des pensées, des réflexes est perturbant et déroutant mais tellement instructif.

Non, je n'ai pas été heureux tous les jours. En cent-soixante-huit jours, ce serait un peu illusoire. J'ai râlé, j'ai pesté, j'ai regretté. J'ai eu peur aussi, j'ai détesté et j'ai souffert. C'est peut-être même dans ces moments là que vous m'avez le plus entendu m'exprimer. Evidemment, il est tellement plus facile de se plaindre que d'exalter sa joie. M'accorderez-vous cette faiblesse ? M'autoriserez-vous à vous dire qu'il faisait trop chaud au Costa-Rica et trop humide en Irlande ? M'autoriserez-vous la défaillance de ne pas tout visiter pour rester dans mon lit à me lamenter, de temps en temps ?

Jamais satisfait ... Oui, c'est aussi la conclusion à laquelle j'arrive. Car faut bien dire les choses : Ce n'est pas parce que je ne profite pas sur le moment que le souvenir agréable ne reste pas !

Allez, les prochains mois seront durs et probablement peu intéressants mais on va essayer de leur trouver leur bons côtés !!

Merci à vous tous pour votre présence à mes côtés et n'oubliez pas de me mettre des claques quand je me plains !
Une pensée particulière pour mes professeurs (Abel, Fatima, Virginia, Alvaro, Yendry, Vicky, ...), pour mes colocataires (Susanne, Sandra et Rafael), pour mes logeuses (María-Luz et Sandra), pour tous les étudiants que j'ai croisés (Joaquím, Anna [x4], Barbara, Kana, Testu, Mickael, Yvonne puis Maxime, Benoit, Emmanuel, Julia, Veronika, Anja ou encore Céline, Yoann, Verónica, Cindy, Julien, ... et tous les autres !!) mais aussi pour Emma (et sa famille), José-Carlos, Sebastián, Javier ou Alberto et Gabriel ... Tant de noms, tant de visage, tant de moments ... Merci à tous, le plus sincèrement du monde.

Enfin, merci à ceux que j'oublie le plus souvent mais qui sont restés à mes côtés malgré la distance, qu'ils soient famille ou amis.

Merci pour tout à tous.

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Desde septiembre, viajo. Necesidad de hacer un break, marcar una pausa. Seis meses de pausa.

Durante mis viajes, descubrí una pequeña parte del mundo. Descubrí lugares, descubrí culturas, descubrí artes pero sobre todo descubrí personas.

Algunas de esas personas que encontré estaban amables, otras desagradables. Algunas eran de mentalidad abierta, otras encerradas en si mismas. Algunas me hacían feliz, otras me hicieron daños. Algunas me permitían de expresarme, otras me obligaban a ser reservado. Algunas estaban felices de vivir, otras tenía un peso sobre la espalda. Algunas eran ricas, incluso muy ricas, otras pobres, incluso muy pobres. Algunas eran fuertes, otras huían los problemas. Todas me enseñaron algo.

De todas esas personas, esos contactos, esos amigos más o menos temporales, guardo recuerdos. Con mi nostalgia de siempre, espero o sueño verlos otra vez o, a lo mejor, conservar el contacto. Una esperanza ilusa, lo sé muy bien pero no me la puedo quitar. La vida sigue su curso y cada uno su camino. Tal vez, los nuestros se cruzarán otra vez, o tal vez no.

Lo que quiero conservar de estos viajes, lo que nunca quiero olvidar, lo que quiero grabar en mi memoria, son ellas. Todas esas personas. Todas esas personas quienes me enseñaron a ser, a vivir, a actuar pero también, me enseñaron quién soy yo.

Más joven, pensaba que la escuela era la educación de la vida. Trabajando, me dí cuenta que el mundo profesional era mucho más instructivo que todas esas horas sobre una silla en clase. Ahora, entiendo todo el sentido del provierbo “Los viajes forman la juventud.”. La mezcla de las culturas, de los pensamientos, de los reflejos es perturbado y desconcertado pero tan instructivo.

No, no estuve feliz todos los días. En ciento-sesenta-y-ocho días, sería un poco iluso. Refunfuñé, eché pestes, añoré. Tuve miedo, odié y sufré. Quizá es dentro de esos momentos que me oíais expresarme. Por supuesto, es mucho más fácil quejarse que mostrar su felicidad. ¿Me otorgaréis esa debilidad? ¿Me autorizaréis deciros que hacía demasiado calor en Costa-Rica y demasiado húmedo en Irlanda ? ¿Me autorizaréis el fallo de no haber visitado todo para quedarme en la cama lamentandome, de vez en cuando ?

Jamás satisfecho … Sí, también es la conclusión a la que llego. Ahora que lo sabemos, que vosotros lo sabéis, ¿podemos ir adelante? Porque hay que decir las cosas: ¡No es porque no disfruté en el momento que no conservo el recuerdo agradable!

Pues, los próximos meses serán duros y probablemente menos interesantes pero ¡¡vamos a intentar encontrar los lados buenos!!

Gracias a todos por su presencia a mis lados y ¡no olvidéis estrellarme cuando me quejo!

Un recuerdo especial a mis profesores (Abel, Fatima, Virginia, Alvaro, Yendry, Vicky, ...), a mis compañeros de piso (Susanna, Sandra et Rafael), a mis casaras (María-Luz et Sandra), a todos los estudiantes que encontré (Joaquím, Anna [x4], Barbara, Kana, Testu, Mickael, Yvonne y además Maxime, Benoit, Emmanuel, Julia, Veronika, Anja o incluso Céline, Verónica, Julien, ... ¡¡y a todos los otros!!) pero también para Emma (y su familia), José-Carlos, Sebastián, Javier o Alberto y Gabriel… Tantos nombres, tantas caras, tantos momentos … Gracias a todos, con la sinceridad más grande del mundo.

Por fin, gracias a los que olvido con frecuencia pero que se quedan a mi lado a pesar de la distancia, sean familia o amigo@s.

Gracias por todo a todos

samedi 11 janvier 2014

El_neptúnico ... el fin del Costa-Rica :'(

Después de muchas aventuras… ¡¡Otras aventuras!!

En este sábado once de diciembre de dos-mil-catorce, tantas cosas pasan que no sé si recuerdo de todo. Hay que decir también que mi día empieza a las dos de la madrugada para acabarse a la una, el domingo. Voy a intentar de hacer lo de manera cronológica:

A las dos de la madrugada, tengo que tomar un taxi para quedar con Emmanuel e ir a Tamarindo. Tenía el plan que la chicas regresarían pero no y tengo que ir a buscar lo yo mismo. Salgo por la última vez de la casa de Sandra, con todas mi cosas y voy para en centro del pueblo. Tengo un ejército de perro tocando una música de ánimo durante todo el largo camino.

A las dos y media, estoy esperando mí taxi cuando un muchacho se acerca. “¡Yuronokiu!”, me dice. ¿Qué? “¡Tu teléfono o te mato!” Ah… Más claro ya pero hago el tonto y le hace decirlo en inglés y español unas veces hasta que un taxi llegue, que levante la mano para pararlo y que me sube a dentro pidiéndole de no tardar. En el taxi me pregunto si es que tengo tanta suerte que un taxi pasa a este momento y si el muchacho es tan tonto que no vio que un taxista estaba cerca. Al final, ¡estoy vivo y tengo mi teléfono!

A las tres menos algo, llegamos a Tamarindo con Emmanuel que recuperé en camino y paramos en frente de la disco para saludar a estudiantes de la escuela, incluyendo mis hermanas, más mi mama-tica. Mucha emoción…

A las tres y media, estamos en el bus, la maleta a bajo e intentamos dormir un rato. De repente que el sueño me tomo, el controlador me pide mi billete (que me dio poco tiempo antes). No podré dormir más del viaje…

A las diez de la mañana, llegamos por fin al aeropuerto de San José y bajamos para dejar mi maleta en un hotel antes de ir a visitar a Bez. ¿Mi maleta? Sí, es la que está todavía en el bus… ¡que se está yéndo! Rápidamente, tomamos un taxi y en chófer da (casi) todo lo que puedo para adelantarlo a fin de que recuperemos mi maleta. Maleta que dejamos al hotel, como planeado. Taxi que conservamos hasta el hospital, aunque no planeado.

A las once, puedo por fin ver de nuevo a mi protegido y conocer a su padre de verdad. Le doy diferentes regalos como su champú olvidado, su mochila (que yo le había robado), dulces y su libro de B2 que nunca recibió porque no quería (:p) venir a clase. El regalo lo más importante llega unos segundos después, al fin de su cigarro, con la presencia de Emmanuel.

A las once y diez, por supuesto, la persona que le hace hacer su rehabilitación viene y hago una visita del edificio con Emmanuel durante este tiempo. Luego, comemos todos juntos y disfrutamos del tiempo.

A la una, ya, tengo que irme y dejar otra vez a mi tocayo en este hospital. Voy por donde está la parada de bus, tomo el mío, y llego al aeropuerto a tiempo. A tiempo pero no tanto porque es domingo y no estoy el único que viaje. Paso los controles de seguridad con mucha prisa y corro hasta la puerta de embarque. Pocos minutos después, subimos a bordo y…


A las tres de la tarde, despego para… “tin-tin-tin”… ¡¡¡MEXICO!!!

lundi 6 janvier 2014

El_neptúnico ... ¡en Costa-Rica ! Semana 7

No, no sigo las semanas del calendario porque he dicho que os cuento los eventos, entonces es más fácil de esta manera.

En este viernes tres de diciembre, voy por la escuela y no puedo impedirme ir a ver cómo se siente Bez. No tiene clase antes de las nueve pero le despierto para que tome sus pastillas. En este momento me hace un gran regalo diciéndome que sí se siente muy bien y que durmió como un bebe. Le doy sus pastillas y le dejo seguir su noche.

El día se pasa sin problemas, le ayudo a ponerse su hielo en los hombros y le recuerdo cuando tomar cual medicamento. Regularmente, me hago la reflexión que no es un niño y que tengo que dejarle pero… le cuidé durante días y no puedo imaginar que se caiga de nuevo.

Como mi familia-tica no tuve una noche vieja tan agradable tampoco, planeamos hacer otra el sábado. Bez, él, no puede parar de moverse y quiere salir absolutamente. Por fin, planeamos otro restaurante hoy día.

Vuelvo a las ocho con Emmanuel y quedamos con Coco y Bez. Vamos por el restaurante y siento que mi tocayo está ya cansado. Como él me dice que no, seguimos y le ayudamos a caminar derecho. Hace un paso de lado y vuelve, no digo nada. Llegando al restaurante, hace otro, me callo para no molestarle… La cena se pasa sin problemas y Emmanuel nos regala tequileros. Evidentemente, mi protegido no puede beber pero no se molesta y disfruta. Al salir del restaurante, no sabemos qué hacer. Yo no quiero salir de disco y propongo acompañar a Bez a la residencia. Hablamos un rato para saber quién hace qué y… ¡lo peor llega!

Cansado, mi tocayo intenta sentarse al suelo pero pierde su equilibro y se da un sentón de menos de diez centímetros. Muy poco pero suficientemente para que, pienso, el choque repercute en el cuello y que el dolor suba tanto que pierde el conocimiento. Desde este momento, empieza a tener convulsiones y moverse de todo el cuerpo, haciendo subir el dolor del cuello…

Como la primera vez, llamamos a la ambulancia y a la escuela. Esta última no entiende enseguida la importancia del problema y tengo que enfadarme para que me ayude. Aquí está mi primera pelea en español… A continuación, el paramédico intenta explicarme que el seguro no va a pagar por esta otra intervención. Otra vez, tengo que insistir preguntándole que si Bez tiene que morir en la calle para que nos ayude. Por fin, después de un último intento pidiéndome hasta mi propia tarjeta de crédito y viendo en mi cara que nunca la tendrá, llama al seguro que confirma de repente el pago.

Al llegar al centro médico, el mismo que la última vez con el mismo médico, nos dicen que tenemos tres elecciones: Ir ya para el hospital de Libera para que haga exámenes, intentar ir ya hasta San José con el riesgo que Bez no lo soporte y que tengamos que parar en cualquier hospital o darle medicamentos para que pueda pasar la noche y nos vayamos al amanecer para San José (también con el riesgo de tener que irnos para Libera en caso de que no se tranquilice). La última solución me parece la mejor y su padre me lo confirma una hora después.

Durante la noche, mi protegido no tiene otra crisis y podemos dormir un rato, yo en otra camilla y Emmanuel al suelo. Tomamos tiempo para comprobar que tenemos todos los documentos (gracias a algunas chicas de la escuela que vimos en la calle y volvieron a la escuela a buscar cosas).

A las cinco de la madrugada, nos vamos para el aeropuerto pero esta vez, Bez está completamente durmiendo. Allí, un avión de emergencia viene a buscarnos para llevarnos al pequeño aeropuerto de San José. Estoy sentado en lugar del copiloto y puedo ver al cuadro de mando. Tengo que tener mucho cuidado de no tocar nada, con las manos o los pies, porque hay mandos por todas partes. A la mitad del camino, puedo disfrutar de uno de mis primeros amaneceres, y eso a una velocidad duplicada como vamos para el Este. Es el mismo equipo médico pero parecen más preocupados y no me gusta, me pone nervioso.

Llegando al hospital, tengo como una impresión de déjà-vu… ¡no sé porque! Hago la admisión explicando que ya tienen todos los datos y regreso para estar con Bez cuando se despierte. El medicamento que tenía para dormir le pone perdido y no recuerda muy buen lo que paso. Hablamos un poco pero está muy cansado y le dejo descansar. La médica del hospital que vimos la primera vez vuelve a revisarle y le explico lo que paso desde la salida. Afortunadamente, tengo todos los datos de la vez pasada y puedo enseñarlos a la doctora. El primer diagnóstico que teníamos del médico de Villareal fue una crisis epiléptica. Ahora, la doctora no está segura pero confirme que es parecido a un estado epiléptico.

Mientras que intento poner presión al hospital y pedir al padre de insistir, el seguro tendrá la misma actitud. Después de siete horas y de que el padre les amenace, aceptan confirmar el pago y podemos hacer los exámenes. Sí, siete horas esta vez… Bez está bien la mayoría del tiempo pero hace “pequeñas” crisis casi como todas las dos horas. Igual que la semana pasada, subimos a la habitación y esperamos el médico jefe. No sé porque pero las enfermeras parecen un poco raras… Tal vez, no esperaban vernos otra vez. ¡Me gustaría decirles que nosotros tampoco no habíamos planeados de verles de nuevo!

Del domingo al martes, hacen otros exámenes y salen perfectos. Además, tenemos la visita de un tisiólogo (pneumólogo ?) porque Bez hace crisis que llamo respiratorias. Este médico particularmente desagradable intenta explicarnos que estas crisis pueden ser psicológicas y me explica que Bez podría hacerlas para llamar la atención a los demás… Lo peor es que me pide de salir de la habitación cuando mi protegido las haga. Es decir que tengo que irme cuando él me necesita lo más. Estas ideas me parecen tan tontas que no le doy más interés. Luego es un neurólogo que viene y el parece mucho más simpático, ¡además habla francés! Él nos explica que no puede ser crisis epilépticas porque no hay ningún antecedente, las llama a las crisis mioclonias. Otra vez, el electroencefalograma está perfecto.

Como tenemos otros problemas con el seguro que no quiere pagar más el padre de Bez decida de venir. Eso me parece una buena idea así que el médico jefe nos explica que Bez sufre de vértigos generados por una sensación de aceleración y desaceleración del cerebro debido a un síndrome post-traumático cuando hizo su recaída. Al final, no puede regresar en vuelo comercial pero no necesita tampoco un vuelo especial… y el seguro no quiere acordar la escolta médica. ¿Entonces? ¡Nada! Puede esperar meses si no hacemos nada…

Durante estos momentos difíciles estamos al borde de un ataque de nervios algunas veces. No quiero mentirle, sí que la situación está pesada para mí también. Sé que me necesita y ayudarle me da mucha satisfacción pero podría estar en la playa con los otros o a clase. No quiero dejarle solo, y no lo hago. Entiendo que sufre y que quiere irse pero… no puedo hacer nada más.
Para ayudarme, recuerdo a algunos momentos que pasamos juntos cuyo uno que no os conté todavía: Una tarde, fuimos, nosotros dos, a Playa Grande. Está ubicada muy cerca de la playa de Tamarindo, hay únicamente que cruzar un río. Allí, las olas son más fuertes ya que no tenemos el nivel para surfear. Fuimos allí solo con unas monedas y nuestras camisas. Cruzamos el río andando con dificultades: Él tenía el agua al nivel de los hombros. Lo más interesante es que hay cocodrilos un poco más arriba del río… :p Fuimos al centro de la playa, como dos kilómetros después el río y disfrutamos mucho. Grandes olas, algunos turistas pero muy pocos, temperatura perfecta, ¡el sueño! Hicimos también castillos y peleas de arenal. Jugamos allí como cuatro horas. Al atardecer, no fuimos de repente que desapareció el sol y volvimos al río para tomar el barco que cruza. Intentamos llamarle, esperamos un rato, ¡nadie vino! Ya es de noche, hay probablemente cocodrilos que no podemos ver, estamos cansados y no tenemos de que pagar un taxi (¡treinta dólares!). Dije que sí me sentía capaz nadar el río pero no confío en mis fuerzas o ilusiones de fuerzas para hacerlo sin nadie más y no quiero poner a Bez en una situación de peligro. Entonces, volvemos en la playa e intentamos a buscar alguien que podría ayudarnos. Afortunadamente, encontramos a dos turistas que nos dicen que iban a nadar y que podíamos juntarnos... Lo hicimos, lo hice. Horas después, GoogleMaps me dirá que nadamos dos cientos metros. No sé si es correcto ¡pero me parecía bastante largo! No soy seguro pero pienso que es el mismo día que intentamos volver a casa haciendo autoestop y que caminamos como la mitad del trayecto… ¿Locos? Tal vez, pero ¡fue agradable!

El miércoles las cosas cambian un poco. De nuevo Bez recupera poco a poco su autonomía y hacemos los mismos ejercicios que la primera vez. Son cosas simples como comer solo, ir al baño o ducharse solo, abrir la ventana o sentarse cuando alguien entre en la habitación. Para él son victorias, para mí son momentos de espanto y luego de victoria. Sobre todo, lo que me da lo más de energía es de verle sonreír u oírle reírse. Le duele, duerme mal, está encerrado, pero conserva su buena humor. Pues, el miércoles, había dicho que quería irme para dormir a Tamarindo ya que su padre está en camino pero … (¡mis padres me van a matar!) como su vuelo está planeado para llegar por la noche y que yo quiero esperarle, me quedo una noche más. Bez está muy alegre con la idea que “Super Papa” está llegando a su socorro. Cuando recibimos su mensaje a las ocho diciéndonos que está atrapado en una cola de horas de espera en Maimi, os dejo imaginar la cara que hace Bez…

El jueves por la mañana, el chófer de la escuela llega para traerle su equipaje. Ya está claro que no regresará a Tamarindo, que no dirá adiós a su familia, que no volverá en la playa … A lo mejor, ¡estos meses! Con las maletas, le trae también una buena noticia: ¡Su diploma! Gracias a la ayuda muy importante de la directora académica de la escuela, Bez consigue su diploma de nivel B1 y tiene su pequeña celebración de graduación con diploma, foto y… collar cervical :p Como planeado ayer por la noche, yo regreso con el chófer y deja a Bez, solo, contra mi voluntad. Su padre llegará dentro de cinco horas, ¡espero que no hará tontería durante este tiempo!

De regreso a la escuela estoy, otra vez, sumergido de preguntas de los demás. Muy cansado, me siento cerca de la piscina y cuento a los que quieren lo que pasó y, lo que pasa y lo que pienso que pasará. Tomo tiempo también por dar la bienvenida a un amigo que fue a Madrid y con quien pensábamos quedar más tiempo. Por la noche, una estudiante alemana hace su cena de despedida y estoy invitado. Lo cómico es que se ubique en el restaurante donde mi tocayo y yo queríamos hacer la(s) nuestra(s).

El vienes es mi último día. ¡No lo vi llegar! Ya… mi último día… Tengo que irme mañana… No me lo puedo creer… Por la mañana, tomo tiempo para hacer mi maleta, no había preparado nada, ahora tengo que hacerlo. Voy por la escuela a las doce haciendo mis últimas compras. Hacemos la graduación y recibo mi diploma de B2. Después de días completos hablando español con todo el mundo en el hospital, es una buena noticia que me acepten el B2, ¿no?

De manera completamente práctica, no recuerdo si lo he dicho o no. Al inicio reservé tres meses en Madrid y tres meses aquí. Hice mi primera estancia y cuando llegue a Tamarindo decidí irme más temprano. Así que corta mi estancia en este viernes diez de enero, después de la Navidad, del Año Nuevo y de las vacaciones de los demás. Cuando estuve con Bez en el hospital, pide a mi oficina de venta de cancelar la última semana que no pude hacer y (después de explicarle que rechazar sería muy mal visto) lo aceptan. Por eso, no tenía clase estos dos últimos días que pasé a Tamarindo. Las semanas cancelas las cambio por una estancia de cuatro… a ¡Dublín! Pero eso, lo veremos más tarde…

Ultima tarde, última noche… Quedamos con Maxime, Emmanuel y otro estudiante en la playa para ver el atardecer y tomar una copa. Por la cena, la pide a mi familia, juntos y a casa. Me parece que hace semanas que no les veo… Les chicas quieren traer me de fiesta pero no me siento de salir. Además me levanto a las tres de la mañana para tomar el bus y… ¡No! ¡Esperad! Ya es bastante largo, ¿no? ¡Esperad hasta el próximo artículo!

¡Hasta la próxima!

lundi 30 décembre 2013

El_neptúnico ... ¡en Costa-Rica ! Semana 6

La semana más imprevista de todas...

Como Maxime está de vacaciones con sus padres, su hermano y sobre todo novia, paso mi tiempo con mi tocayo. El, como yo, estamos al fin de nuestra estancia y queremos disfrutar lo más posible. Entonces, salimos pronto este domingo porque las olas son buenas para surfear. Coco viene con nosotros, alquilamos nuestras tablas y entramos en el mar alrededor de las nueve de la mañana. Una media hora más tarde, estamos disfrutando mucho y veo a Bez salir del agua. Me quedo dentro y algunos minutos después voy para ver lo que pasa porque no regresa. Voy por donde están los zapatos y no veo nadie, vuelvo y veo Bez en el arenal acostado con un desconocido encima de él.

No tomo tiempo para entender y empiezo a correr hasta él. Cerca, me dicen que Bez recibió un golpe con una tabla de surf y le duele el cuello. Hasta ahora, nada de grave. Un turista nos ayuda e intentamos poner a Bez de pie. De repente cuando está de pie se cae. Las cosas se ponen mal y llamamos a la Cruz-Roja para que sea revisado por un médico. Durante la hora y media que esperamos la ambulancia, Bez perdió la consciencia regularmente acostado sobre su tabla de surf. Por fin llamamos a otra ambulancia, privada, que vino muy rápidamente.

De allí, nos vamos en emergencia al centro medical de Villareal que no está muy lejos. El medico es claro, no hay elecciones, Bez tiene que ir lo antes posible a San José hacer radio y exámenes. Tenemos el tiempo de recuperar algunas cosas personales como su pasaporte, su tarjeta de seguro, un cambio y eso gracias a la ayuda de mi hermana-tica, Susana y Coco. Después de una llamada con el seguro, el personal de la ambulancia nos confirma que un helicóptero está llegando y que un acompañante tiene que ir. Como tengo el mejor nivel de español y de francés… ¡voy!

Una hora más tarde, estamos en el aeropuerto de Tamarindo y el helicóptero llega. Coco y yo ayudamos al traslado y subo al lado de la médica… ¡bastante guapa! Desgraciadamente, Bez no puede disfrutar tanto de la médica y tampoco del vuelo así que hago foto esperando darle un pequeño suvenir después de su mal sueño. El piloto nos dice que como volamos con vientos contrarios, necesitaremos más tiempo. Ósea que llegaremos dentro de cincuenta y cinco minutos contra treinta y cinco normalmente… ¡¡en coche son cinco o seis horas!!



En este punto de la historia, quiero aclarar una cosa: Desde la (primera) ambulancia hasta el fin que veremos más tarde, hablo únicamente en español con todas las personas que encuentro. Mi tocayo, él, lo intenta también pero es mucho más difícil hablar otro idioma cuando tiene tanto dolor y que está “drogado”.


Aterrizamos directamente sobre el aparcamiento del Hospital Clínica Bíblica (HCB) esperados por un equipo médico y algunos paparazis (el helicóptero, es como en Francia, un evento) y nos vamos rápidamente a urgencias. Otra médica se encarga de hacer los primeros exámenes y yo voy al servicio de admisión para completar los documentos. Nos tengo todos los datos pero suficientes. Un punto importante, al momento presente, hace ya seis horas que mi pequeño protegido está acostado en una tabla rígida (tabla de surf y otras camillas) sin poder mover nada para no movilizar sus miembros. Todo pasa bien, tenemos que esperar un poco la confirmación de pago del seguro y podrá hacer lo otros exámenes.
“Un poco”… Es lo que pensamos… “Un poco” ¿tico? No, por supuesto, el seguro es alemán. “Un poco” ¿alemán? Eso significa casi nada, como… no sé… una hora, ¿no? ¡No! No es una hora, ni tampoco son tres horas,  ¡¡¡¡¡¡¡son SEIS horas más que tenemos que esperar!!!!!! Van a decirme que puede ser normal en un hospital… pero es un hospital privado, ¡de lujos! Y no esperamos por el hospital, sí que esperamos por el seguro. ¿Y sabéis porque? Porque el seguro está buscando un médico en Alemania para confirmar los datos de la doctora y si hay que pagar o no. ¿Y eso? ¡¡A las TRES de la MADRUGADA allí!! ¿Penséis que hay muchos médicos despiertos un lunes a las tres de la madrugada? Lo más “divertido” es que el hospital tiene una política especial relacionado con el tiempo de espera: Un paciente no puede esperar más de seis horas, después tiene que pagar el resto y seguir el tratamiento o pagar los exámenes hechos e irse. ¿Cómo podemos irnos mientras Bez no puede mover y tiene que quedarse acostado sobre su tabla dura? Buena pregunta a la cual alguien contesta: “Tomar una ambulancia publica gratis y hacer vueltas en el barrio o buscar otro hospital”… Cómico, ¿no? Lo podría ser… pero a Bez sigue doliéndole y ahora ¡tanto la espalda como el cuello! Por fin necesitaremos otra vez la gran ayuda de la escuela y de su director que llama al seguro y le amenaza si no hacen nada… De repente, recibimos el correo electrónico de confirmación y cinco minutos después el staff viene a buscar a mi tocayo para hacer los exámenes esperados…


Diez minutos más tarde, regresa del “TAC” (equivalente al “IRM” de Francia) y puede subir a su habitación. Con la ayuda de la doctora y después de TRECE horas, puede por fin ir a una cama sin esta tabla de tortura. Ya es muy tarde y estamos muertos de sueños. A mi tocayo le duele bastante así que recibe una inyección para tranquilizarle, voy a ducharme y está durmiendo cuando regreso. Este día ha sido terrible, ¡espero que el siguiente sea mejor!

Durante los días siguientes, Bez mejora bien. Los exámenes salen bien, no hay nada, ni un hueso quebrado, ni problema en el cerebro, ni nada. Poco a poco, recupera su autonomía pero sigue con mucho dolor y necesita tres días para caminar no sin ayuda (relacionando con un muy mal equilibro). El martes treinta de diciembre, una enfermera me explica que, tal vez, su falta de equilibro pueda seguir durante meses… Buena notica de un lado, mala del otro… ¡La vida es dura! Para él, que sabrá eso días después, o para mí, tenemos momentos alegres y otros difíciles. En este momento, él quería solo una cosa: salir el treinta y uno para estar en Tamarindo por la noche del año nuevo. Yo no lo creo pero… El último día del año, Bez está muy contento de poder demostrar al médico jefe que puede caminar y hacer todos los ejercicios entonces, sí, ¡podemos salir!

¿Y qué? Son las cuatro de la tarde y el señor enfermo no puede tomar coche para regresar. ¿Ambulancia por ochocientos dólares o noche vieja en San José y vuelvo el primero por medio día por menos de cuatrocientos dólares? Lo habéis entendido, no pasamos la noche en Tamarindo, con lo otros, en la playa… Vamos al hotel y descansamos y esperamos a un staff de la escuela que está con nosotros desde hace algunos días para salir a la medianoche. A las dos de la madrugada, me despierto: Ya, es 2014, no vi nada. Estoy enfadado y me duermo de nuevo. A las seis y media, despierto a Bez para darle su medicamento y me saluda con un “Feliz año nuevo” un poco irónico… :p




No podemos llamar nadie, la red está saturada… Nos vamos del hotel y, tomando nuestro tiempo, caminamos por la calle turística, vemos el Museo Nacional (cerrado el primero de enero…), paramos regularmente para que Bez descanse, escuchamos lecturas bíblicas durante una misa en la Catedral de San José y tomamos el bus público para llegar al aeropuerto. Él está cansado, las vibraciones del bus le duelen mucho y tengo que mantener su cabeza. En el aeropuerto, todo está bien, puedo pasar la migración con únicamente la copia de mi pasaporte, adelantamos a todo los demás porque Bez está enfermo y podemos descansar un poco. Hot dog, medicamentos, agua y hielo en el cuello y estamos listo para subir dentro del pequeño avión de NatureAir.



El avión es muy mono y estamos muy pocos adentro. El despegue es un poco doloroso pero rápidamente Bez se duerme. Antes de llegar, le despierto para que disfrute un poco de la vista: sobrevolamos Tamarindo haciendo una vuelta sobre el mar con vista maravillosa… ¡Tenía que verla! El aterrizaje no es tan malo y el taxi que encontramos tampoco. Volvemos a Santa Roza muy despacio (veinte kilómetros por hora, no más) y por fin él regresa a casa, con su familia y su cama.





¡¡Qué aventura!! En este miércoles, podemos relajarnos y disfrutar del fin del día. Yo vuelvo a casa y cuento esta mala aventura a mi familia. Susanna estaba muy preocupada.

El día jueves, tomo el bus para la escuela y estoy saturado de preguntas de todos los estudiantes. Todos saben que algo pasó pero no tienen los datos correctos. Al llegar a la escuela, voy por donde está la directora académica y le confirmo que todo está bien ahora. Nos falta únicamente una cosita que le gustaría mucho a mi tocayo: Venir a dormir en la residencia para volver a clase lo antes posible. La persona encarga de eso busca una solución y me confirma que sí es posible. Muy rápidamente, el chófer de la escuela y yo vamos a buscar a mi protegido. En camino, sacamos partido para recoger a otros alumnos que querían tomar el bus público. La familia de Bez no dice nada pero no piensa tampoco que es una buena idea. Por lo tanto, quedarse en cama durante tres o cuatros días sin ver a nadie ni internet, ¡puedo entender que sea muy aburrido!

Muy despacio, llegamos a la escuela y el pequeño héroe hace su entrada… ¡conmigo para no caerse! Todavía, su equilibro no es perfecto y me da miedo verle caminar en zigzag. Por lo tanto, tengo que dejarle vivir su vida y hacer lo que él quiere. De mi lado, tengo clase y él puede, por fin, llamar a su novia para tranquilizarla.

La semana fue muy cansada y me alegro de volver a Tamarindo, descansar en la piscina, en la playa o en casa. Tengo que decir que, sí era difícil y cansado, pero era una experiencia muy interesante. Además, mi tocayo me regaló un tour en helicóptero y otro en mini-avión, eso no es nada :p


PD: Olvidé deciros que al salir del hospital tenemos la buena sorpresa que el seguro no envió la extensión del pago y que Bez tiene que pagar casi dos mil dólares de médico...

lundi 23 décembre 2013

El_neptúnico ... ¡en Costa-Rica ! Semana 5

Ya… es el 23 de diciembre… No me lo puedo creer… ¿Navidad? ¡Con treinta grados!

Es muy extraño imaginarse que ya es Navidad cuando nada parece a Navidad. Sí que hay decoraciones, sí que hay casas con mucho luz de Navidad, sí que hay árboles de Navidad pero… ¡hace tanto calor!

Pues, si lo dicen, es que es probablemente verdad. Una de las pruebas que tenemos es la desertización de la escuela. Como hace mucho calor, que tenemos la playa y la piscina, que hay muchas cosas que ver y hacer… muchos estudiantes necesitan vacaciones para descansar de las vacaciones que tienen. No, para decir la verdad, numerosos de los estudiantes que están aquí muchos meses vuelven a casa por Navidad o reciben a sus familias. Entonces, como está previsto desde el inicio, no tienen clase. En consecuencia, pasamos de cuarenta estudiantes a quince. En clase, es lo mismo: Pasamos de clases de ocho o doce alumnos a clases de dos o tres. Lo mejor es que así tenemos casi cursos particulares.

Para festear un poco la Navidad, unos de la escuela organizan una barbacoa en la playa. En pequeño grupo, disfrutamos de carne quemada con arenal que comemos sin ver nada… ¡No, no es verdad! La organización es perfecta y disfrutamos mucho de una tarde muy agradable.

El veinticuatro por la noche, tenemos una cena de Navidad con mi familia. Para imaginarla, tenéis que olvidar todo lo que tenéis costumbre de hacer en Europa. La “fiesta” se ubica en el jardín en cortos y camisetas, la cena es una barbacoa, hay música para bailar y cervezas para beber. El ambiente es muy particular y casi individualista pero no desagradable por lo tanto. Hablamos, disfrutamos y pasamos el tiempo. A la una de la noche, la fiesta se termina y regresamos a casa y nos acostamos rápidamente. Estoy cansado y tengo planes desde las siete de la mañana por el veinticinco.



Seis horas después, Navidad está realmente aquí y vamos a saborearlo lo más posible. Maxime se va por la mañana ver a su familia que llega a San José y nos deja solos, los dos Benoît. Las olas están bien, el tiempo perfecto: ¡¡vamos a la playa!! Rentamos nos tablas y vamos para surfear lo más posible… ¡Que divertido! Imaginarse jugando en el mar el día de Navidad aunque en Francia, vosotros estáis muertos de frio almorzando en familia… Me gusta mucho esta idea :p




Por el almuerzo, tenemos otra barbacoa organizada dentro de la escuela. Así podemos relajarnos de lo esfuerzos de la mañana comiendo “peros calientes caseros” sentado los pies en la piscina. ¿Os da ganas? ¡Jajaja! Por la tarde, volvemos a la playa y seguemos surfeando hasta el atardecer. Tenemos mucho suerte que un amigo tiene una camera de muy buena cualidad así que podemos hacer fotos muy bonitas.


Durante el atardecer el mismo, hacemos con Benoît y dos chicas nuestro muñeco. Pues si, hay que hacerlo, ¿no? Es Navidad y tenemos que hacer un muñeco de Navidad. Evidentemente, como no hay nieve de nada, tenemos que hacerlo con el arenal. ¡¡Eso es muy divertido!! Lo había un poco planeado pero la realización no puede ser como lo pensé. Al final, me gusta mucho y lo pasamos bien.



El resto de la semana sigue como la normal pero con clases individuales. Además, planeamos un viaje hasta San José para visitar dos días la capital. Será el fin de semana próxima, con Benoît. Esperándolo, vamos el sábado a Santa Cruz que es una ciudad de tamaño medio bastante cerca. Como el bus no quiere llegar, intentamos hacer autoestop y funciona más o menos. Terminamos en taxi por el precio del bus. En Santa Cruz, buscamos el museo que mi tocayo había visto pero parece que está mucho más lejos. Hacemos una vuelta en la calle principal y encontramos una iglesia muy bonita, pequeña en altura y de forma circular. Al lado, el campanario y el jardín. En frente de la iglesia está el parque municipal con una cúpula de piedra que sirve de quiosco. Del otro lado del parque, un edificio llama mi atención y no puedo resistir a pedir autorización para hacer fotos: La Cruz-Roja de Santa-Cruz. Más que una foto, es una visita completa que nos ofrece el socorrista muy agradable. Vimos las ambulancias de primer socorro, las de socorro avanzado, las 4x4 y la que tiene un médico. Recibimos mucha información muy interesante y aprendo que de hecho, lo que hacen aquí es bastante similar a lo que hacemos en Francia.





Para el almuerzo, compramos sándwiches que comemos en el parque y seguimos con una micro-siesta esperando a otros dos de la escuela que están llegando. Quedamos con ellos una pequeña hora después y encontramos también una amiga suya que nos hace visitar otro barrio. Terminamos la tarde en un restaurante donde parece que trabaja con su abuela. Ella habla un poco de francés y está muy contenta de practicarlo un rato con nosotros. Para regresar a Tamarindo, nos vamos a la parada principal de buses, vemos uno salir, y nos dirigimos a la ventanilla para tener informaciones. Por supuesto, ¡el bus que vimos era el nuestro! De repente otros chóferes de buses nos ayudan y tomamos un taxi a alta velocidad para adelantar al bus. ¡Misión cumplida! Qué suerte tenemos…

Al llegar a casa, planeamos el último día de la semana y último domingo del año pero, eso, ¡lo contaré la próxima vez!

lundi 16 décembre 2013

El_neptúnico ... ¡en Costa-Rica ! Semana 4

El tiempo pasa tan rápidamente que no puedo escribiros todo lo que quiero. Por eso voy a concentrarme sobre los eventos importantes.

Mi viaje a Panamá nació de la idea de ver el canal. Eso era un sueño desde niño. Ver una de las más importantes obras del mundo: la separación artificial de un continente. El Hombre cortó la tierra para ahorrar horas de viaje. Sí que unas personas podrían decir que es una locura, el Hombre no tiene derecho a destruir. Pero por otro lado adaptamos la tierra y ahorramos gasolina y tiempo… ¿Cual es lo mejor? No lo sé…

Entonces, organicé con la ayuda de otros este viaje con paradas obligatorias: Bocas del Toro, Panamá City y el Canal de Panamá. Como he dicho ya, esto dos últimos están juntos, ¡qué suerte! Con la agencia de viaje, encontramos un medio para hacer más o menos lo que queríamos. Nos faltaba únicamente la vuelta desde Panamá City hasta la frontera. Una chica del grupo buscó y encontró algo, yo reservé y ¡estamos listos!

Para sobrevivir al viaje, lo más importante es relajarse. Tenemos ocho horas de minibús así que empezamos por una fiesta de pueblo. Nuestro “taxi” viene a la medianoche lo que nos da tiempo de disfrutar e irnos directamente. Las mochilas están listas, podemos bailar y tomar cervezas sin pensar en el futuro. La hora llega y el chófer es puntual. Vamos las cuatro primeras horas con él, un cambio en San José (el día antes de la fiesta de la luz L) y otro bus hasta Bocas. Aquí los demás pueden dormir unos minutos cada hora y yo sigo organizando el resto. Tendremos un barco hasta la isla donde dormiremos. Y un tour. Y la noche. Y otro barco. Y un taxi. Y… ¡¡tantas cosas que planear!!

Pero antes de todo hay que cruzar la frontera, recién levantados tenemos que completar documentos con datos personales y preguntas locas y sonreír al agente de aduana. Difícil pero bastante rápido. La guía que tenemos nos  ayuda mucho. Con el visado de salida de Costa-Rica, podemos por fin cruzar el famoso puente de madera que da tanto miedo y llegamos a Panamá donde hacemos otra vez la cola para obtener el visado de entrada.





Volvemos en el bus y, completamente despiertos disfrutamos de un paisaje más verde y de montaña. Al mediodía llegamos a Almirante  que es la ciudad costera en frente de Bocas (que son islas). Aquí tomamos un barco con veinte otras personas y navegamos alrededor de todas las islas muy bonitas. Pocos minutos después de la salida del puerto, mi tocayo recibió la primeras gotas del océano atlántico en la cara antes de bajar la protección. Una vez en la isla principal, encontramos nuestro hotel al frente del puerto y hacemos el check-in… ¡en francés! No es culpa mía, no sabía que el dueño hablaba francés :p Los demás, los seis germano-parlantes y el japonés, no entendieron nada pero me permitió practicar mi español traduciendo las informaciones. El barrio parece seguro con el puerto y el cuartel de la policía a su lado.



Una media hora después, otro guía vino a buscarnos para el pequeño tour que reservamos en el segundo bus. Vamos por la isla, casi hasta el centro, a ver a una virgen en una gruta y “sus” murciélagos. De la virgen no recuerdo su historia pero puedo deciros que hacen una misa una vez al año en una iglesia sin techo, a cielo abierto, con únicamente el altar y bancos. Luego, vamos a una playa  con una vista muy bonita y caminamos una media hora hasta otra, los pies en el mar, para ver las estrellas de mar.





La playa donde llegamos es una de las playas donde hay más estrellas de mar. Habríamos podido ver más por la mañana pero vemos unas muy grandes. Nos relajamos aquí, nos bañamos y tiramos a algunas chicas al mar para… ¿Necesitamos razones?

Al regresar al hotel, nos separamos para continuar la noche. Es decir que somos seis germano-parlantes, tres franco-parlantes y un japonés, podéis entender que es mucho más fácil que nos dividimos en dos grupos. Como el japonés vive con mi tocayo, hacemos un grupo (que me gusta llamarlo de los chicos) y los demás hacen el suyo (¿El de las chicas? ¡Con solo un chico!) En mi grupo, tengo la suerte contar con un cocinero precioso que nos prepara croque-monsieur (bocadillos calientes de pan de molde). Disfrutamos mucho mi tocayo, el japonés (Kousuké [/kokouké/]) y yo, y descansamos. Luego, damos una vuelta en la cuidad muy turística y no compramos nada más que un juego de cartas al ver de los precios…



Por la mañana del día domingo, tenemos que tomar el mismo barco que utilizamos y regresamos a Almirante donde un taxi nos espera para llevarnos a la parada de bus donde llegamos con una hora de anticipación y el bus otra hora de retraso. Subimos y seguimos disfrutando del paisaje muy bonito hasta que lleguemos a Panamá. Allí, ¡volvemos a la civilización! No que sea feo pero es que hay muchos edificios altos, centros comerciales, hoteles,… Para algunos del grupo, hace meses que han visto eso. El bus para en la estación principal de buses y de allí no tengo ni idea de como llegar al hotel pero… ¡buscamos! En una ventanilla, un hombre nos ofrece su ayuda y busca con nosotros taxis. No pensé pero el hotel está bastante lejos y no todos aceptan ir hasta allá. Una hora después, ya estamos en el hotel y podemos descansar durante una noche. Para la cena, hacemos la vuelta del barrio y encontramos un restaurante… cerrado… ¡pero abierto para diez personas! Es exactamente lo que necesitamos. Cenamos todos juntos, con buena comida barata.

Para el lunes, reservé ayer un tour con un de los taxistas. El chófer llega puntual y empezamos por el Parque Nacional Metropolitano. Este parque tiene un bandera muy grande que se ve desde muy lejos en la cuidad. Pienso que es el punto culminante. Durante la construcción del canal, era una de las bases militares de les estadounidenses utilizada para alojar a los trabajadores del canal. De un lado de este “montaña” se ve una gran parte del canal y del otro lado está la cuidad con el barrio de casco viejo.






Después, nuestro guía nos lleva a lo más importante para mí, lo más impresionante, lo más… extraño: ¡El canal! Y lo visitamos al nivel de las esclusas de Miraflores. Como punto turístico, podéis entender que hay una organización especial con una mezcla de seguridad y de libertad. Dentro, el grupo principal se divide como al inicio. Así, podremos disfrutar sin molestar. En primer lugar, vamos al canal propiamente dicho para tomar fotos tradicionales. En segundo lugar, miramos la película en 3D sobre la historia de las obras del inicio por los Franceses a la recuperación por los Panameños y el referéndum de 2006 para acrecer el canal. Hay que decir que esta película (cortometraje) me da más que pensar en una forma de propaganda.  En tercer lugar, visitamos el museo repartido en cinco niveles con salas no tan grandes y profundizamos nuestro conocimiento con más imágenes, textos, muñecos, sala de diversión y datos históricos. En último lugar, asistamos a la llegada de un barco muy grande que estaba cruzando desde el océano atlántico hasta el pacifico. Eso es realmente impresionante: está cruzando un continente…







Cuatro horas después, salimos y recuperamos nuestro chófer para seguir la visita. La parte siguiente es la del casco viejo. Como algunos estaban cansados ya y estaba lloviendo, no nos quedamos mucho tiempo allí aunque es un lugar precioso. Pero el guía tiene otro plan y vamos a tres antiguas islas que ahora no lo son porque los estadounidenses utilizaron una parte de la tierra del canal para juntar las “islas”. Algunos minutos aquí y las chicas quieren ir de compras al centro comercial con pretexto de ver una película… ¡Les extraña el cine! Nosotros también vamos de compras porque mi tocayo tiene que comprarse zapatos y eso necesitará como dos horas. Cenamos el en último piso, ¡el de la mala-comida!




Para el día siguiente y último en la ciudad de Panamá, no hay planes. Conservamos los grupos creados y nosotros volvemos al casco viejo. Es un lugar muy bonito y descubrimos otro lado con la catedral, la plaza principal y el antiguo teatro en obras para rehabilitarlo en hotel. En la plaza, un hombre vino contarnos datos históricos e informarnos sobre muchas cosas muy interesantes. Desgraciadamente a dos del grupo de cuatro que formamos no les interesa tanto y tenemos que cortar la visita.






Después de comer en un restaurante rico pero no caro, tomamos un taxi para visitar Panamá la Vieja. De este barrio no queda realmente nada, únicamente ruinas. Por culpa de piratas, toda la primera ciudad de Panamá fue destruida. Ahora, podemos pasear entre las ruinas dentro de un gran parque. Queda algunas paredes, una torre y añadieron pancartas de información para que sepamos lo que formaban las paredes antes. Al fin del parque, llegamos en frente de un edifico municipal de artesanía. Como tenemos todavía unas horas antes de regresar, lo visitamos y encontramos muchísimas cosas súper interesantes: cuadros, bolsos, imágenes,… ¡es el lugar perfecto para comprar regalos!







Regresamos temprano al hotel con nuestros regalos y descansamos unas horas esperando la cena que nos prometieron las chicas. A las diez de la noche, la cena estas terminada, los cubiertos y platos limpios, las mochilas listas y nosotros también. Esperamos el bus privado que viene a buscarnos para llevarnos a la frontera de Paseo Canoas (la segunda frontera entre Panamá y Costa-Rica). Treinta minutos después, mi tensión nerviosa empieza a llegar a un nivel alto y se nota. Una hora después regreso a la recepción del hotel para pedir ayuda (y no pueden hacer nada) y preguntar si tienen habitaciones libres acaso. Mi tensión está a su máximo cuando llegue el minibús con una hora y media de retraso. Como es culpa del chófer, es normal que no pida disculpas de nada y empieza  a enfadarse porque “está esperándonos en otro hotel desde la siete de la tarde” (sic). Evidentemente, el viaje que sigue es parecido a esta primera impresión ¡es decir que es el peor que hemos tenido! Como lo diré algunos días después en mi correo de quejido, el minibús es muy muy incómodo y sucio, la conducción del chófer es tan mala que da mucho miedo y fue cargado en mi tarjeta más que lo que me confirmaron. Ocho horas de “tren del espanto” durmiendo como diez minutos cada dos horas… gracias mi almohada humana representada por el hombro de Maxime.

A las siete de la mañana, legamos a la frontera y vemos una cola muy larga. ¡Qué bien, tres horas de espera!, me digo. ¿Tres horas? Ja-ja-ja, son en realidad seis horas que esperamos, y eso, únicamente para salir de Panamá. Lo peor es que para nosotros, Europeos y Asiáticos, es ¡muy muy rápido! Seis horas de pesadilla, haciendo cola de pie, en el ruido, sin haber desayunado… Por fin pasamos este lado y esperamos una hora más del otro para regresar a Costa-Rica. Nuestro chófer está ya aquí desde las cuatro de la mañana, después de ocho horas de viaje y tomamos la ruta a las dos de la tarde (hora a la cual yo quería llegar a Tamarindo). El, sin dormir de nada, conduce muy bien y ya podemos descansar mucho más. Descansar pero también hablar con Maxime jugando a las cartas sin realmente jugar pero hablando de verdad. Son a las diez de la noche que llegamos a Santa Rosa, después de veintitrés horas de viaje. ¿Sed? No. ¿Hambre? No. ¿Dormir? No tanto. ¿Ducha? ¡¡Sí!!



Después de tantas emociones el fin de semana se pasa muy tranquilamente y barato con playa, surf, descanso y no mucho más.